Un moment tout à soi, pour soi
Déposer, ou découvrir
ce qui vous pèse
Etre entendu
Apaiser
ce qui a besoin de l’être
Aller vers un mieux-être
Pourquoi consulter ?
Voir sa souffrance reconnue, parfois même la reconnaitre soi-même


Accéder à l’indulgence et être en capacité de s’accorder douceur et bienveillance
Comprendre ce qui se joue dans votre vie pour y trouver prise
Entendre la vérité intérieur de la personne, mettre en lumière les croyances, schémas, mécanismes de défense qui gouvernent sa vie. Comprendre comment ils se sont créés et réaliser à quel point ils ne sont aujourd’hui plus adaptés, voir contre-productif.

Prendre conscience de ses ressources
Aujourd’hui vous avez des ressources dont vous ne disposiez pas enfant. Les « vérités » sur lesquelles nous nous sommes construits ne sont plus celles que vous vivez aujourd’hui. Lorsqu’on en prend conscience, de nouveaux chemins plus adaptés s’ouvrent à soi.
Comment je travaille ?
J’utilise une approche intégrative, transversale faite de plusieurs approches :

- Fondée sur l’approche humaniste de Carl Roger
« L'individu a en lui de vastes ressources qui lui permettent de se comprendre lui-même, de modifier la représentation qu'il a de lui-même et partant, ses attitudes et le comportement qu'il se dicte à lui-même », pour peu qu’ils bénéficient d’un environnement adapté constitué par l’écoute emphatique et bienveillante du thérapeute -
Prenant en compte les fondamentaux de la psychanalyse incontournables pour comprendre le fonctionnement du psychisme
-
Utilisant le ressenti (le psychocorporel) comme porte d’entrée qui permet de naviguer de l’émotion, à la croyance, à ce qu’on pense
-
Eclairé par les connaissances actuelles relatives au fonctionnement du système nerveux
-
Et celles relatives à la façon d'aborder le traumatisme
J’utilise principalement quatre outils :
- L’écoute active qui permet un lien sécure nécessaire au travail thérapeutique.
- Le ressenti pour accéder aux émotions et comprendre qu’aussi désagréables soient-elles, les émotions ne sont que des ressentis qui vont et qui viennent, qui ne vont pas nous engloutir si on les approche en douceur pour les apprivoiser
- Le ressourcement tout au long de la séance pour rester (ou revenir) dans un espace de sécurité, lorsque les émotions menacent de submerger ou que les manifestations du traumatisme (figement, dissociation, effondrement) apparaissent. Il est ainsi possible, par des vas et vient entre activation et ressourcement à d'apprendre tolérer l'approche de ces manifestations, et ne plus en avoir peur, permettant ainsi de les explorer petit à petit.
- La thérapie de l’enfant intérieur, plus court chemin pour comprendre quelle part de nous est activée dans telle ou telle situation.
Je consulte en présentiel ou en visio
Quelles sont mes sensibilités particulières ?
Comme je l'explique ci-dessous, je suis une ancienne juriste en droit du travail. Cela m'a apporté la connaissance souffrances générées par le (dis)fonctionnement de l'entreprise, comme des litiges de droit du travail ainsi que les atouts et /ou limites des différentes solutions et/ou procédures qui peuvent être mises en œuvre pour les faire cesser.
Aujourd'hui, je suis également en capacité d'aider à comprendre ce qui se joue (rejoue ?) à travers ces situations professionnelles et ainsi leur donner un nouvel éclairage qui peut amener à une solution toute autre que celle qui était envisagée au départ.
Et puis, il y a dans mon parcours tout ce qui relève du cheminement relatif à mes diverses pathologies, fait de douleurs, de fatigue, de découragement, de peurs.
Là encore je suis aujourd'hui en mesure d'aider à comprendre ce qui se joue. Cela permet de mettre du sens sur ce qui n'en avait pas, travailler sur d'autres axes, de mettre du sens sur ce qui n'en avait pas, ce qui au final peut-être vecteur de mieux être.
Qui suis-je ?
Comme souvent, c’est tout un cheminement personnel qui m’a conduit à devenir thérapeute.
Je suis une ancienne juriste, spécialisée en droit du travail. Pendant 10 ans, j'ai fait de la défense prud'hommale. Puis, suite à un burn-out, pendant les 10 années suivantes je me suis consacrée uniquement à l'enseignement et la formation continue, activité que j'exerçais de façon accessoire depuis le début de ma carrière.
Une grande partie de mon activité de formatrice consistait à former des représentants du personnel. C'est ainsi, que mes connaissances juridiques se sont rapidement étoffées de celles des rouages du monde de l'entreprise et, malheureusement, des souffrances qu'il peut générer.
Et j'ai expérimenté là les limites du droit... Faire valoir son droit peut réparer, mais pas forcément. Dans de nombreux cas, le droit n'est tout simplement pas le bon outil pour véritablement aider les gens.
J'ai ainsi expérimenté les limites de ce que je pouvais apporter avec mes connaissances et mes conseils. Même armée de toute mon empathie, je ne pouvais soulager les souffrances auxquelles j'étais confrontée...
Et puis en parallèle, tout un cheminement thérapeutique...
Tout d'abord la découverte de la ressource de la thérapie, il y a 28 ans, lors de la naissance de mon fils qui m’a remis face aux souffrances liées à ma propre naissance.
Puis, des années plus tard, ressource encore pour faire face aux douleurs et peurs liées à une fibromyalgie que je ne pouvais apaiser par les médicaments anti-douleur (que je ne supporte plus, faute d’en avoir trop pris).
Ensuite, la « découverte » des liens entre corps et esprit en 2002, à la lecture du livre de Michel Odoul « Dis-moi ou tu as mal, je te dirai pourquoi », ou comment le corps dit par des maux, ce que l'on ne peut dure par des mots. Ainsi une maladie pouvait être l’expression de souffrances émotionnelles !
La sagesse populaire le dit, et cela m'a paru évident moi, qui depuis l'enfance souffrait d'un syndrome de l'intestin irritable. Alors que les pathologies s'accumulaient (burn-out, hypothyroïdie, fibromyalgie, intolérances alimentaires diverses), il m’a semblé urgent et vital de comprendre ce que mon psychisme essayait vainement de me dire .
J’aurais pu me tourner vers le « décodage biologique », le décryptage du langage du corps, mais j’en ai choisi un autre. Je me suis tournée vers la thérapie. Je voulais comprendre. Découvrir ce qui était à la source de ces pathologies, de ces douleurs. Quels étaient les mécanismes à l’œuvre ?
Je n’avais pas été maltraitée tout de même ! Alors ?
Alors, alors... Au fur et à mesure de ma thérapie, puis des stages, puis de la formation « Chemins vers l'être® » que j’ai entreprise pour aller toujours plus loin, j’ai appris qu’on pouvait avoir muselé ses émotions, refusé de voir, de ressentir des choses pour ne pas souffrir.
Mais cela ne marche pas ! ou pas pour tout le monde. Pas pour moi en tout cas !
Ces émotions qu'on a cru enfouir au plus profond de soi se manifestent comme elles peuvent, nous font revivre toujours les mêmes situations, nous heurter toujours aux mêmes murs, s'expriment par des maladies, etc.
Et c’est ainsi, presque naturellement, moi qui ai toujours eu à cœur d’être là pour l’autre, de le soulager dans la mesure de mes moyens, mais également de transmettre, que j’ai décidé de devenir thérapeute, pour permettre à d’autres d’accéder à ce qui m’a été donné : accéder à l'équilibre, atteindre la sérénité, le calme intérieur. Etre bien dans sa peau !
Et puis il faut l'avouer, ce métier est passionnant ! nourrissant !
J’ai ensuite complété ma formation par une formation en « Thérapie de la cohérence® » (reconsolidation thérapeutique que la mémoire) qui apprend à utiliser le fonctionnement de la mémoire pour supprimer les schémas qui nous entravent.
Et je suis actuellement en formation « Somatic experiencing ® », formation à la résolution du traumatisme.
Contact

Pour prendre rendez-vous :
par téléphone : 06 74 16 13 83
par mail : fd.thebault@gmail.com
Frédérique Thébault
7, rue René Descartes
38100 Grenoble
* « Psychopraticien » est aujourd’hui le nom générique donné aux professionnels pratiquant la psychothérapie, autres que les psychiatres, psychologues et médecins formés à la psychothérapie ainsi que les psychothérapeutes qui, à la date de la réforme de 2010, répondaient à certaines conditions, qui seuls, peuvent légalement se prévaloir du titre de « psychothérapeute ».